L’arrogance des minables

Alors que la France est au début d’une crise sanitaire majeure, il est fascinant d’observer l’arrogance de son gouvernement, président en tête. L’outrecuidance de l’insignifiant foutriquet qui usurpe la fonction de président de la République est tout à fait consternante.

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Arrogance d’un usurpateur

Dans un discours récent, il a dit et répété que « nous sommes en guerre ». Le problème n’est pas qu’il ait formulé ce constat, mais qu’il s’y associe. Les services de santé sont en guerre : médecins, infirmiers et aide-soignants, chercheurs, services de secours, et combien d’autres encore. Eux sont même directement au front pour combattre une pandémie qui ne fera aucune distinction de classe pour choisir ses victimes. Ce gouvernement en revanche a un sacré culot de s’y associer. Surtout après avoir consciencieusement appliqué une politique qui a coupé les moyens de ce même service de santé. Arrogance ? Mais ce sont des pompiers-pyromanes qui osent sans vergogne se présenter comme des pompiers tout-court.

Des discours effarants

Cet affligeant groupe de pieds-nickelés n’a même pas le plus élémentaire bon sens de se coordonner dans ses communications. Si l’un dit une chose un jour, un autre affirme le contraire quelques jours plus tard. Les explications les plus invraisemblables sont présentées pour expliquer des anomalies avérées. À ce chapitre, le pompon revient toutefois à la porte-parole de l’Élysée qui bat absolument tous les records de bêtise. Elle tente par exemple de contourner le problème d’absence de stocks de masques en expliquant qu’elle ne saurait elle-même pas s’en servir. Nous, idiots que nous sommes, devons comprendre que c’est parce que c’est très « technique ». Il faut dire que mettre un rectangle devant sa bouche en couvrant son nez et passer les deux élastiques autour des oreilles demande à tout le monde de ne pas être manchot et d’avoir au moins 4 ou 5 ans pour commencer à comprendre.

Soit elle prend les gens pour de parfaits abrutis du haut de sa morgue de bourgeoise toute imbue de sa propre importance. Soit elle est d’une insondable stupidité. J’avoue que j’ai quand même beaucoup de mal à envisager une autre réponse que la seconde option. Même si, en fin de compte, elle n’est pas totalement incompatible avec la première.

Quant au président lui-même, ses propos font état d’un insupportable paternalisme, ses éléments de langage laissant entendre qu’il était parfaitement au courant de tout ce qui se passe, et qu’il dirige la nation d’une main de maître pour résoudre cette crise. Et il donne des conseils à la manière d’un bon père de famille. Mais tout cela sonne complètement faux. Les faits démontrent pourtant qu’il est dans l’improvisation la plus totale et que ses discours ne sont que du théâtre.

Des choix abjects

À l’analyse, on peut se rendre compte que certaines des directives dans l’arrêté du gouvernement sur le confinement répondent d’abord à des impératifs d’ordre économique. Ho certes, les plus voyants ont été mis en berne comme par exemple les championnats sportifs. Mais les salariés doivent continuer à se rendre au travail. Pire, on a vu la direction d’un bureau de poste appeler un renfort policier pour contrer des employés qui souhaitaient exercer leur droit de retrait. Que les facteurs risquent leur vie pour livrer le courrier n’effleure même pas les esprits malades de ces dirigeants. Il n’est pas question que les marges des actionnaires subissent de trop graves contrecoups de cette épidémie. C’est donc la cupidité qui dicte à ces énergumènes les décisions à prendre. Mais le discours qui suit est assez vicieux et explique que c’est pour protéger la population. Orgueil, cupidité et mensonge, voilà donc le moteur de ces usurpateurs.

Un révélateur

Une des conséquences tout à fait positive de cette crise sanitaire, c’est qu’elle sert de révélateur en mettant en lumière le véritable caractère des individus. Et ce à tous les niveaux de la société. Nous avions déjà une assez bonne idée de ce à quoi il fallait s’en tenir à propos des élus. L’arrogance des parvenus, surtout en politique, n’est en rien une nouveauté. Mais les gens ordinaires montrent aussi leurs travers. Dans les supermarchés, on assiste à des comportements consternants. Beaucoup se sont précipités vers certains rayons et les ont vidés : pâtes, farine, œufs, sucre, et j’en passe. Cette peur de manquer comme si on s’en allait au devant d’une grave pénurie est affligeante.

Une autre révélation majeure de cette crise, c’est le mensonge qu’incarne l’Union européenne.  Ainsi, alors que l’Italie avait besoin d’aide, la commission de Bruxelles n’a pas levé le petit doigt. C’est la Chine qui a décidé d’envoyer de l’aide. Et pour faire bonne mesure, les autorités tchèques à Prague on volé du matériel envoyés par la chine et destiné aux italiens. La solidarité européenne si chère aux « eurolâtres » a volé en éclats. Et pendant que les technocrates tergiversaient à Bruxelles, les États ont pris les choses en main. Beaucoup ont commencé par fermer leurs frontières respectives. La France a tout de même fini par le faire aussi malgré l’obstination aveugle de Macron qui ne parlait que des frontières de l’Union européenne…

Arrogance et court-termisme

Une interrogation apparaît alors : comment ce gouvernement peut-il imaginer un seul instant que ses méfaits resteront définitivement impunis ? Je peux bien volontiers admettre que quelques décennies de propagande télévisuelle ont notablement atténué la combativité de nos contemporains. Mais s’imaginer, ne serait-ce qu’un instant, que ça durera éternellement relève de l’imbécilité la plus profonde. Il suffit de se tourner vers l’histoire pour trouver de nombreux épisodes du même genre. On peut alors constater que jamais aucun régime totalitaire n’a pu se maintenir, ni en France, ni ailleurs. L’orgueil de ce gouvernement conduit ces énergumènes à se croire plus malins que leurs prédécesseurs et qu’eux sauront se maintenir en place aussi longtemps qu’il leur plaira. Cela relève de la psychiatrie.

Quelles perspectives ?

Dans l’immédiat, il n’y a rien de très réjouissant en vue. Cependant, dans la mesure où on considère que les exactions de cette maffia ne dureront qu’un temps, il sera nettement plus utile de commencer à réfléchir à la manière de reconstruire tout ce qu’ils auront détruit. Et bien entendu, il faudra y inclure les éléments rendant nettement plus compliquée la prise de pouvoir par des gens indignes des fonctions considérées. Ne vous laissez pas obnubiler par la gravité des événements présents.

Gardez de la place à la réflexion, soyez constructifs. Et éteignez vos téléviseurs !

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2 réflexions sur « L’arrogance des minables »

  1. Les méfaits de ce gouvernement pourront être punis qu’à une première condition: dès que la magistrature aura été nettoyée…suite à un changement radical, non-européiste du gouvernement français. François Asselineau en tête…qui d’autre autrement ? Quand je regarde autour de moi, ce serait une révolution. Mais patience, cela peut exploser comme le coronavirus.

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